Contrairement aux autres candidats, Ségolène Royal subit d'avantage les attaques, les critiques d'une presse qui en permanence guette un "faux pas", une approximation de la candidate socialiste. Rien ne lui est épargné. Tandis que François Bayrou donne des leçons de morale en affirmant que sa présidence sera sous le signe de l'originalité en appelant les électeurs à boycotter "l'affrontement historique droite/gauche". Nous connaissons le personnage particulièrement frileux qui n'a absolument rien fait lorsqu'il était Ministre de l'éducation nationale entre 1993 et 1997. Toutefois, les médias persistent à le présenter comme une véritable alternance et ne reviennent pas sur ses quatre années d'immobilisme rue de Grenelle. L'extrême gauche sur représentée et parfaitement irresponsable transmet un message populiste, démagogique qui devrait être plus sévèrement condamné. En effet, Olivier Besancenot et ses acolytes feraient bien de s'enfermer quelques temps afin de réécrire le code du commerce. puis de revenir avec des propositions "valables".
Nicolas Sarkozy commence à effrayer son propre camps à cause d'un programme "attrape nigaud". Mais qu'en disent les journalistes? Ségolène Royal dispose d'un programme réaliste, pragmatique qui a pris racine, entre autres dans les débats participatifs. Notre candidate dispose d'un vrai caractère pour accéder à la présidence. Il est regrettable que ceux qui sont chargés de relayer l'information n'en fasse pas plus état.
samedi 17 février 2007
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